Gaston BERNARD |
Je n'ai jamais si longtemps contemplé les astres. |
Jean BÉZAUT |
Tout le drame du bombardement de Klinker est là. |
Pourquoi tous ces morts à quelques jours de la Libération? |
Guy CHATAIGNE |
La fabrication du He.l77 sera le grand échec de la production aéronautique nazie. |
Pierre CLÉMENT |
Sous le poids de l'horrible poche rougeoyante d'une fonte meurtrière |
Hermann commandera tout Speer |
La soupe de midi. |
Marcel COURADEAU |
Le tintement de la cloche |
L'appel du matin n'est jamais très long |
Les morts de la journée sont ramenés pour être comptés avec les vivants |
S'ingénier à calmer la faim |
Deux mille briques, c'est lourd, lourd! |
Georges DUROU |
Nous travaillions en deux équipes durant douze heures |
je me sentis soulevé par un puissant souffle |
Norbert FERRAGUTI |
Tout marche à la trique, au travail comme au camp. |
Robert FRANQUEVILLE |
La chance travaille pour moi. |
Antoine GIBALA |
Deux coups de feu claquent. |
Michel GROUX |
Ils ont sur le front et sur chaque joue une croix noire |
Marcel HOUDART |
Un infirmier veut m’avoir dans son Revier. |
Cette « Marche de la mort »m’anéantira |
Alex LE BIHAN |
L’écorce des arbres est arrachée. |
Coupées, équilibrées, les rations sont ensuite tirées au sort . |
Ce sont des Soviétiques affreusement maigres qui nous implorent. |
Jacques LEFAURE |
Comment saboter |
Bernard MERY |
Il n'est pas recommandé de parler français à la Strafe de Klinker |
Block 13 du grand camp |
Pierre MIGNON |
Ma belle brosse! |
Jules MONTAIGNE |
Nous resterons pieds nus pendant quarante jours |
Le but est de nous apprendre à obéir et de nous casser. |
Peenemunde |
Louis PEARRON |
Le soir, nous sommes rompus, anéantis. |
Marcel RADUREAU |
Les journées de travail étaient longues et pénibles |
René ROCHARD |
Quitter le camp, pour moi c’est un peu la liberté, mais peut être la mort |
Georges ROUX |
La Croix Rouge nous sauve la vie |
André RUELLAND |
Et toujours, il faut marcher, marcher |
Maurice RUTH |
Kommando Speer |
Recevoir des paquets |
Georges de SAINT-ETIENNE |
Nous y fabriquions les ailes du Junker 88 |
Le SS le fit plier en deux |
François SAVARY |
C'était une des mille façons de saboter le travail |
La "Gross Alarm" retentit |
Roger SEMENCE |
Nos peines ne prennent pas fin en quittant Speer. |
À mon tour, je suis hors course. |
Armand SUZZI |
La sentence tombe: la Strafe ! |
Antoine SROKA |
Tous les marks sont mis en commun |
Marcel STIQUEL |
A notre arrivée à la gare d’Oranienburg |
Nous fûmes dirigés au block de quarantaine pour le dressage |
Nous refusâmes la distribution de la soupe |
Quelques jours après le bombardement |
Liste des témoignages vidéo validées pour le site |
Roger BORDAGE |
Kommando de chaussures pour les punis – 1mn 21 |
Fabrication du Haftling – 1mn 53 |
Fuite des SS et libération – 1mn 16 |
Importance de l’information – 1mn 17 |
Quarantaine – 1mn 17 |
Travail à l’abri - 2mn |
Usine Heinkel – 2mn 17 |
Guy CHATAIGNE |
La soif – 3mn 7s |
Bombardement Klinker – 4mn 49s |
Rage de vivre – 2mn 12s |
Drame de la faim – 2mn 4s |
Extermination par le travail – 1mn 50s |
Déshumanisation et sensibilité – 2mn 19s |
MARCHE DE LA MORT |
La soif – 50sec. |
Le bois de Below – 3mn 12s |
Les SS assassinent encore – 1mn 53 |
Les SS exécutent encore - 1mn25 |
Les SS massacrent une vieille dame allemande – 1mn 3 |
Libre le 2 mai 1945 - 3mn 22 |
Solidarité impossible - 1mn20 |
Solidarité réussie – 2mn 6 |
Claude LACLOCHE |
Arrivée au camp – 2mn 58s |
Indigestion – 2mn 8s |
Lever et appel – 1mn 21s |
Yves LÉON |
Arrivée au camp – 3mn 19s |
Le système nazi – 3mn 6s |